A 28 ans, Lucie fantasme beaucoup sur les choses du BDSM que son mari, âgé de 45 ans ne lui fait pas, ou du moins que très rarement. Au début ils se sont bien amusés avec ces jeux, mais depuis quelques années, il s’est abonné à une chaîne sportive et passe ses soirées devant la télévision. Oh, du matériel et des accessoires ils n’en manquent pas. Au début de leur relation, ils ont dévalisé la boutique ABCplaisir. Il est vrai que le salaire de pilote d’Henri permet de faire quelques folies.

Comme il ne souhaite pas qu’elle travaille, Lucie écrit des histoires érotiques et surfent pendant des heures sur Fessestivites. Entre ses lectures et les vidéos, elle trouve matière en guise d’inspiration et surtout, pour s’enflammes les sens. Au fil du temps, elle a pris l’habitude de créer des histoires qu’elle met en scène toute seule. Des hommes viennent souvent lui faire des misères dans ses fantasmes. Pour donner du sens à ses activités solitaires, elle utilise leurs accessoires pour s’entraver et s’offrir sans défense à des beaux garçons venant profiter de son corps. Lors de ses selfbondages, elle parvient des fois à avoir des orgasmes de folie avec son principal « ami » le magic wand massager.

La chaudière de leur maison ayant rendu l’âme, Henri a décidé de faire installer une pompe à chaleur et un chauffe-eau solaire. Cela tombe sur une période où elle a des obligations cela l’oblige donc à laisser un jeu de clés au plombier chauffagiste. Il commencera les travaux le mercredi et devrait avoir terminé le samedi midi si tout va bien.

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C’est son dernier jour de tranquillité, pour Lucie, entre les travaux et ses obligations, elle sait que pendant plus d’une semaine, l’écriture et les plaisirs solitaires ne seront plus possibles.

Elle s’excite donc comme une folle en essayant de terminer sa dernière histoire érotique. Elle devrait cartonner sur Fessestivites. Prise dans ses folies, elle décide de s’amuser, de se faire un super selfbondage avec des tas d’accessoires et son grand copain le Magic wand puissance 10 sans fil.

Dans son histoire, son Maître l’a attachée nue dans l’entrée de leur maison avec une barre d’écartement pour l’obliger à garder les jambes écartées. Il aurait invité ses amis du foot à prendre un verre en leur offrant sa soumise en guise de biscuits. Ils sont évidement tous beaux et gâtés par la nature. Dans ses délires, Lucie décide de reproduire au moins le début de cette histoire.

Dans l’entrée, elle installe la barre d’écartement et, pour s’obliger à garder les bras tendus au-dessus de sa tête, Lucie installe une chaîne qu’elle fixe à la rampe d’escalier puis y fixe des menottes. Pour ne pas avoir froid, elle pose sur le carrelage son tapis de sport. Question accessoires et plaisirs, elle se met la ceinture maintenant le magic wand en bonne place sur son intimité. Comme elle aime bien qu’on lui pince les seins, des pinces à sein trouvent leur place sur ses tétons déjà bien tendus pour cause d’excitation. Pour parfaire l’ensemble d’accessoires, un plug anal vibrant ne peut pas nuire. Rien que de se préparer pour cette cession de selfbondage, la belle est tout excitée.

La gestion du temps de ses selfbondages n’est plus un problème pour elle depuis qu’elle s’est acheté sur ABCplaisir le fameux cadenas électronique. Elle le fixe avec les clés des menottes à la chaîne l’obligeant à garder les bras au-dessus de sa tête. Une petit lubie lui vient. Et si elle se bâillonnait avec le bâillon en forme de sexe. Elle pourrait le sucer comme si elle était obligée de faire des fellations pendant que les amis de son mari la baiseraient comme des malades assoiffés de sexe. C’est donc avec ce dernier accessoire en bouche qu’elle s’installe dans l’entrée de leur maison. Elle enclenche le plug anal vibrant et le fameux magic wand qui va la faire jouir une bonne dizaine de fois au minimum.

Lucie se contorsionne presque immédiatement sous les vibrations en suçant un « footballeur » tout en s’imaginant possédée par un rustre. En essayant de leur échapper, elle sent que cette cession va vraiment être très jouissive, l’idée d’être ainsi offerte la titille de plus en plus et pas que dans ses histoires.

La première jouissance pointe son nez. Elle essaye de la retarder un peu quand soudain, un bruit de clés dans la porte la coupe net dans son petit délire. Lucie constate avec la peur au ventre qu’elle n’a pas rêvé en voyant la porte s’ouvrir et le plombier entrer avec sa caisse à outils. Surpris, il reste immobile un instant. Cette situation incongrue le perturbe, au départ, il pense à une agression. En observant la scène, il se rassure, la femme n’est pas blessée. Il ferme la porte et s’avance vers elle à petits pas. Sur le cadenas il voit défiler les secondes et tout proche, des clés bloquées devant être celles des menottes. Entre les jambes de la femme, l’espèce de gros micro noir vibrant n’a pas l’air d’être un instrument de t o r t u r e, surtout posé à cette endroit là.

• Alors la belle, on s’amuse ? Vous avez de drôles de jeux vous. C’est la première fois que j’ai cet accueil quand j’arrive chez des clients. Vous l’avez fait toute seule ou c’est votre mari qui a décidé de m’offrir sa femme avant que je m’occupe de sa chaudière ?

• Onffff ! Fait Lucie en essayant de parler malgré le bâillon tout en faisant des « non » de la tête.

Amusé, le plombier pose sa caisse à outil et savoure du regard cette situation très plaisante à ses yeux.

• J’ai déjà eu des clientes qui avaient envie de se faire baiser, mais jamais l’une d’elle ne s’est offerte comme vous.

• Onffff ! Fait encore Lucie en faisant des « non » de la tête.

• Il y a un truc que j’adore, c’est la sodomie, si je dois vous enculer, je vais être obligé de libérer vos jambes, cela ne vous dérange pas ?

Lucie s’affole, tire comme une malade sur ses entraves, puis continue de faire des « non » désespérés en essayant de faire comprendre au plombier qu’il doit lui retirer son bâillon.

• Ah, votre truc, c’est le fantasme du v i o l, de la femme qui n’est pas consentante ?

Désespérée, Lucie continue de s’énerver sur ses entraves et commence à pleurer de rage. Comprenant que quelque chose ne va pas, le plombier prend l’initiative de lui retirer son bâillon.

• Mais vous êtes con ou quoi de venir aujourd’hui ? En plus vous ne comprenez rien, vous êtes vraiment un abrutis ! Libérez-moi de suite !

• Oh petite tu te calmes de suite et tu me parles sur un autre ton. Tu te mets pire que nue et offerte en position délicate avant que j’arrive. Ensuite nous sommes mercredi et si tu regardes le devis tu verras que c’est le jour où commencent les travaux. Alors si tu as envie de te faire baiser, surtout ne me parles pas sur ce ton où je t’encule à sec ! D’ailleurs c’est ce que j’ai envie de faire de suite pour t’apprendre la politesse petite salope ! Répond le plombier furieux de cet accueil en dégrafant son pantalon.

• Non, je vous en supplie, ne me faites pas de mal.

• Pourquoi vous ferais-je du mal ? Vous saviez que je venais et vous m’offrez un bien joli spectacle. Je savoure ce petit cadeau c’est tout. Si le grand frisson et ce fantasme vous animent, je veux bien vous faire plaisir. Lui répond le plombier en délassant ses chaussures pour retirer son pantalon.

• Stop, s’il vous plait. Je me suis trompée de jour. Je ne savais pas que vous veniez aujourd’hui. Pitié ne me faites pas de mal.

• Je n’ai pas envie de te faire du mal moi, j’ai juste envie de te donner ce que tu as envie à priori.

• Bon écoutez, j’ai déconné et j’ai joué toute seule je l’avoue mais je n’ai pas envie de baiser avec vous. Lui dit Lucie rouge de honte.

• C’est chouette ce bâillon en forme de bite. Si je comprends bien, tu aimes sucer des bites, tu es une sacrée nana toi. Si tu veux me sucer avant que je t’encule, je suis d’accord. Lui dit le plombier sur un ton sarcastique en lui faisant voir son bâillon.

Comprenant qu’elle risque vraiment de se faire v i o l e r, Lucie avoue qu’elle aime bien s’attacher et se faire jouir comme ça. Le plombier ayant déjà son sexe bandé dans la main, elle a extrêmement peur de se faire déchirer l’anus par une verge de cette taille.

• Ecoutez, on peut faire un deal. Je vous suce et vous me libérez et on n’en parle plus. Ce sera un secret entre nous ! Propose Lucie prête à faire une fellation plutôt que de se faire baiser ou pire sodomiser par ce monstre.

• Commence par me faire une bonne pipe, on verra après ! Lui répond le plombier en s’asseyant à même le sol pour que sa verge soit en face la bouche de Lucie.

Henri, le plombier n’est absolument pas un sadique, Lucie ne risque rien, mais elle ne peut le savoir. Cette fellation, il ne lui aurait même pas demandée si elle ne lui avait pas proposé ce deal.

La belle en perdition se met à le sucer comme une désespérée, son objectif est de le faire jouir le plus vite possible et que cet enfer prenne fin.

• Oh, mais tu es goulue toi ! Tu sais vraiment y faire. Lui dit Henri en caressant sa petite tête blonde. Rassure-toi, je ne te ferai aucun mal, tu ne risques rien et je ne te v i o l e r a i pas.

Tout en savourant sa fellation, Henri s’amuse avec les boutons du magic wand massager toujours en train de titiller l’intimité de Lucie. En jouant avec les dits « boutons » il monte la puissance à son maximum, ce qui a immédiatement pour effet de faire cambrer la belle. Sa belle poitrine toujours munie de pinces à sein attire son attention. Lorsqu’il les retire, Lucie gémie de douleur, un signe pour Henri qu’elle apprécie qu’il lui touche les seins. Il les malaxe avec douleur dans un premier temps puis entreprend de titiller les petits tétons turgescents suite à la morsure des pinces.

Elle n’y peut rien malgré la honte. Entre le magic posé sur son clitoris à la puissance maximum et les attouchements bien ciblés d’Henri sur ses seins, Lucie sent qu’elle n’aura pas d’autres choix que de jouir si elle « « n’achève pas » » rapidement son tourmenteur. la tempête fait rage dans la tête de Lucie, ses jambes se mettent à trembler comme quand elle retient son plaisir. Elle ne veut pas jouir devant lui mais comme il a perçu qu’elle est sur le point d’exploser, il titille encore plus fortement les tétons et tire sa tête pour lui enfoncer profondément sa verge dans la bouche. Pour Lucie, cette situation tant de fois fantasmée prend vie pour la première fois, son mari est bien trop doux et respectueux pour lui faire ça. Emportée par la tourmente, sa résistance est happée par l’ouragan, elle se met à jouir comme une folle. Le magic wand ne s’arrêtant pas, cette jouissance dure très longtemps et lui fait perdre la raison.

Cette implosion des sens est si puissante qu’elle ne le sent même pas jouir dans sa bouche. Son corps tremble, convulse, elle crie « la bouche pleine » mais sans arrêter de pomper, à présent, avec passion. La magic la rend folle, lui fait perdre la raison. Ne sachant plus si elle est dans son histoire ou réellement avec le plombier, elle se met à crier « baisez-moi » sans percevoir que son délire fantasmagorique peut aussi prendre vie. Henri saisit la balle au bond, il lui retire la ceinture obstruant le passage, se couche sur elle et la pénètre aussitôt. Trempée de plaisir, elle se donne à lui en poussant des cris de bonheur. Le plombier n’a jamais été aussi en forme que ce jour là, et pour cause, ce n’est pas tous les jours qu’une femme aussi belle s’offre à lui ainsi. Le plug anal vibrant étant encore en bonne place, les sensations sont torrides pour les deux amants qui ne tardent pas à s’envoler à nouveau.

Si Lucie avait bien conscience de ce qu’il se passait quand il la baisait, le sentir couché sur elle et en elle lui fait réellement prendre conscience des réalités. Elle vient de tromper son mari avec un mec qui a bien profité de la situation. Le plombier se retire et se rhabille en la laissant dans les vapes évanescentes générées par les plaisirs inouïs qui ont été les siens. Elle ne revient vraiment sur terre que quand il lui soulève la tête pour lui donner un verre d’eau.

• Merci, ouf, ouf. Désolée de ce qu’il s’est passé, j’espère que vous ne m’en voulez pas et saurez garder ce secret. Murmure Lucie honteuse.

• Ne soyez pas désolée, j’ai bien aimé. Cela m’a rappelé mon ancienne soumise, elle adorait ces situations tendues. Promis, je ne dirai rien, cela restera un secret pour nous.

• J’ai honte de moi !

• Honte d’avoir pris autant de plaisir serait dommage. Il reste encore 10 minutes sur votre cadenas, voulez-vous que je le coupe ou préférez-vous patienter ?

• Non, ne le coupez pas, question pudeur je crois que je peux à présent attendre 10 minutes. Vous aviez une soumise qui aimait les situations tendues comme ça ?

• Oh là, oui ! Je l’enlevais régulièrement avec la camionnette pour la conduire dans des endroits sordides pour lui faire vivre les pires outrages. Elle adorait ça.

• Pourquoi n’êtes vous plus ensemble ?

• Elle est militaire et a été mutée à Brest ! Parlez-moi un peu de vous.

• Oh il n’y a rien de terrible à raconter. J’écris des histoires érotiques pour tuer le temps, mon mari ne veut pas que je travaille.

• Il est aussi un Maître ?

• Pas vraiment, un peu des fois mais c’est rare. Il est pilote long courrier, j’ai donc énormément de temps pour m’ennuyer.

• Vous vous attachez souvent comme ça ?

• Des fois, cela me permet de faire du BDSM toute seule.

• Cela vous dirait que je vous enlève et vous v i o l e avant la fin des travaux ?

• Heuuuuu. Je peux peut-être décaler mon départ ..... Répond Lucie en devenant rouge de honte.

EPILOGUE

Henri l’a embarquée un soir dans sa camionnette en lui mettant une cagoule sur la tête. Il a fait deux fois le tour du quartier avant de revenir chez eux et de l’attacher sur un lit pour lui faire l’amour sauvagement. Ce qui a taché le lit cette nuit là, ce n’est pas ce que vous croyez. C’est la bouteille de champagne rosé que Lucie a ouverte pour fêter son entrée en soumission avec un Maître plombier.

Je subodore que vous aussi vous garderez ce secret pour vous et ne le direz pas à son mari.

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